Le fonds immobilier La Foncière basé à Lausanne affiche un bon résultat 2009. La pierre constitue toujours une valeur refuge après la crise financière. Mais la construction et la rénovation de logements doivent être accélérées, sous peine d'emballement du marché.
"2009 a confirmé les pronostics", s'est félicité jeudi devant la presse Arnaud de Jamblinne, directeur général de La Foncière. Le marché immobilier suisse a fait preuve d'une remarquable solidité. "Il n'y a pas eu ici de bulle immobilière".
Au terme de l'exercice clos le 30 septembre 2009, La Foncière a versé un dividende de 19,90 francs par part, en hausse de 0,20 franc. Sa performance sur un an s'inscrit à 10,75%, le rendement sur distribution à 2,89%.
La valeur vénale des immeubles s'inscrit à 949,5 millions de francs, en hausse de 5,37%. La fortune nette a progressé de 29 millions à 680 millions. La Foncière a encaissé 67,2 millions de loyers (66,1 millions lors de l'exercice précédent). Sa marge de bénéfice d'exploitation se monte à 60,57%.
Même si tous les indicateurs sont en progression, La Foncière tire la sonnette d'alarme: la pénurie de logement s'est encore aggravée dans tous les cantons romands. L'activité soutenue dans la construction ne suffit pas à répondre à la demande: en plus de l'augmentation démographique attendue, la taille des ménages diminue et les besoins en surface par personne augmentent.
Face à cette situation, les pouvoirs publics doivent changer leur politique du logement, explique M. de Jamblinne. Les rénovations énergétiques et le recours aux énergies renouvelables doivent être soutenus, notamment par des incitations fiscales pour les propriétaires.
La Foncière possède le capital de 110 sociétés immobilières qui détiennent plus de 3800 logements et 60'700 m2 de surfaces commerciales situés dans les villes romandes. Son parc immobilier est constitué aux deux-tiers de logements, à 15% de bureaux et commerces, le reste étant des immeubles mixte.
"2009 a confirmé les pronostics", s'est félicité jeudi devant la presse Arnaud de Jamblinne, directeur général de La Foncière. Le marché immobilier suisse a fait preuve d'une remarquable solidité. "Il n'y a pas eu ici de bulle immobilière".
Au terme de l'exercice clos le 30 septembre 2009, La Foncière a versé un dividende de 19,90 francs par part, en hausse de 0,20 franc. Sa performance sur un an s'inscrit à 10,75%, le rendement sur distribution à 2,89%.
La valeur vénale des immeubles s'inscrit à 949,5 millions de francs, en hausse de 5,37%. La fortune nette a progressé de 29 millions à 680 millions. La Foncière a encaissé 67,2 millions de loyers (66,1 millions lors de l'exercice précédent). Sa marge de bénéfice d'exploitation se monte à 60,57%.
Même si tous les indicateurs sont en progression, La Foncière tire la sonnette d'alarme: la pénurie de logement s'est encore aggravée dans tous les cantons romands. L'activité soutenue dans la construction ne suffit pas à répondre à la demande: en plus de l'augmentation démographique attendue, la taille des ménages diminue et les besoins en surface par personne augmentent.
Face à cette situation, les pouvoirs publics doivent changer leur politique du logement, explique M. de Jamblinne. Les rénovations énergétiques et le recours aux énergies renouvelables doivent être soutenus, notamment par des incitations fiscales pour les propriétaires.
La Foncière possède le capital de 110 sociétés immobilières qui détiennent plus de 3800 logements et 60'700 m2 de surfaces commerciales situés dans les villes romandes. Son parc immobilier est constitué aux deux-tiers de logements, à 15% de bureaux et commerces, le reste étant des immeubles mixte.
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