
Le marché immobilier européen offre aujourd’hui une meilleure rentabilité pour les investisseurs, selon le dernier indice DTZ Fair ValueTM.
Cet indice, qui mesure l’attractivité des marchés d’immobilier d’entreprise à travers le monde, se positionne pour l’Europe à 41 au 2ème trimestre 2011contre 32 au trimestre précédent.
Tous les actifs immobiliers ont profité de cette embellie avec, pour les surfaces de bureaux, un indice en hausse de 17 à 28 au 2ème trimestre, alors que le commerce et la logistique
affichent un score de 52 (à comparer à 40 et 48 un trimestre plus tôt).
L’indice de DTZ a donc enregistré une hausse en dépit de la dégradation des perspectives économiques sur fond d’incertitudes quant à la sortie de crise de la dette européenne. La progression de l’indice, après deux trimestres de baisse, est fortement corrélée au réajustement des taux obligataires observé au cours des derniers mois.
Le nombre de marchés « BRULANTS » a augmenté en Europe, passant de 10 au 1er trimestre 2011 à 11 au 2ème trimestre alors que, dans le même temps, 18 marchés sont
passés de « FROIDS » à « CHAUDS ». En conséquence, le nombre de marchés “FROIDS” est tombé de 46 à 28 au 2ème trimestre 2011.
L’Europe centrale et de l’Est continue de concentrer la majorité des marchés « BRULANTS » en bureaux et commerce. Sur ces marchés, les perspectives de croissance des valeurs en
capital à moyen terme sont stimulées par une compression des taux de rendement et une hausse attendue des loyers, ce qui compensera une prise de risque plus grande.
La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni ont retrouvé leur attractivité avec des marchés passant de « FROIDS » à « CHAUDS ».
En France, le taux de rendement prime pour le marché de bureaux de Paris continue d’être considéré comme surévalué, donc « FROID », tandis que Lyon et à Marseille passent de
« FROIDS » à « CHAUDS ».
Magali Marton, Directrice des Etudes CEMEA de DTZ, commente: « Notre dernier indice DTZ Fair ValueTM montre que les marchés « core » en Europe sont plus attractifs que début
2011. Leur rentabilité est nettement meilleure que celle des obligations. Si la demande des entreprises devrait souffrir des troubles économiques, le manque d’offre de qualité devrait à
l’inverse maintenir la pression sur les loyers avec même une hausse anticipée sur quelques marchés. ».
L’indice Fair ValueTM « monde »a, pour sa part, progressé de 50 à 55 au 2ème trimestre 2011, illustrant le caractère toujours attractif du marché immobilier.
Cet indice, qui mesure l’attractivité des marchés d’immobilier d’entreprise à travers le monde, se positionne pour l’Europe à 41 au 2ème trimestre 2011contre 32 au trimestre précédent.
Tous les actifs immobiliers ont profité de cette embellie avec, pour les surfaces de bureaux, un indice en hausse de 17 à 28 au 2ème trimestre, alors que le commerce et la logistique
affichent un score de 52 (à comparer à 40 et 48 un trimestre plus tôt).
L’indice de DTZ a donc enregistré une hausse en dépit de la dégradation des perspectives économiques sur fond d’incertitudes quant à la sortie de crise de la dette européenne. La progression de l’indice, après deux trimestres de baisse, est fortement corrélée au réajustement des taux obligataires observé au cours des derniers mois.
Le nombre de marchés « BRULANTS » a augmenté en Europe, passant de 10 au 1er trimestre 2011 à 11 au 2ème trimestre alors que, dans le même temps, 18 marchés sont
passés de « FROIDS » à « CHAUDS ». En conséquence, le nombre de marchés “FROIDS” est tombé de 46 à 28 au 2ème trimestre 2011.
L’Europe centrale et de l’Est continue de concentrer la majorité des marchés « BRULANTS » en bureaux et commerce. Sur ces marchés, les perspectives de croissance des valeurs en
capital à moyen terme sont stimulées par une compression des taux de rendement et une hausse attendue des loyers, ce qui compensera une prise de risque plus grande.
La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni ont retrouvé leur attractivité avec des marchés passant de « FROIDS » à « CHAUDS ».
En France, le taux de rendement prime pour le marché de bureaux de Paris continue d’être considéré comme surévalué, donc « FROID », tandis que Lyon et à Marseille passent de
« FROIDS » à « CHAUDS ».
Magali Marton, Directrice des Etudes CEMEA de DTZ, commente: « Notre dernier indice DTZ Fair ValueTM montre que les marchés « core » en Europe sont plus attractifs que début
2011. Leur rentabilité est nettement meilleure que celle des obligations. Si la demande des entreprises devrait souffrir des troubles économiques, le manque d’offre de qualité devrait à
l’inverse maintenir la pression sur les loyers avec même une hausse anticipée sur quelques marchés. ».
L’indice Fair ValueTM « monde »a, pour sa part, progressé de 50 à 55 au 2ème trimestre 2011, illustrant le caractère toujours attractif du marché immobilier.